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Min Sia Shota Complex
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Posté le: Ven 26 Jan - 18:09 (2007) Sujet du message: Setsujoku |
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Bon, je sais pas mais en ce moment l'envie d'écrire me reprend méchament. Cependant je trouve pas plus les mots qu'avant. Mais je suis tellement dans ma période morbide ou drama, que j'ai envie de continuer cette fic que j'ai abandonnée au chapitre trois. Mais je pense que je vais la reprendre sérieusement, avec celle sans nom [Pour le moment en tout cas] puisque j'attend toujours que Shinokago écrive son paragraphe de notre fanfiction yaoinesque de Kingdoim Hearts II <x. M'enfin, comme je pense que je peux sérieusement la continuer et la finir, je vous la poste, ça me motivera peut-être ^_^.
Titre : Setsujoku Genre : Suspens, Surnaturel et Angst. Rating : K et probablement M plus tard. Personnages : Yumi Kinowo, Akero Mitarashi, Yukari Harada, Chie Hirosume, Nana Kogami, et pleins de personnages secondaires tel que Morita, Daisuke, Mayuka, Tomoko, Ting Ting, etc, etc, ... Couples : Y en a pas vraiment, je ne m'attarde pas vraiment sur les relations amoureuses qu'il pourrait y avoir. Y a cependant le début gravite sur les relations bizarres de Yumi. Magie : Non, y a un peu de surnaturel mais pas jusqu'au point de considèrer sa comme étant de la magie. Disclaimer : Les personnages m'appartienne tous. Fanfiction finie : Non Nombre de Chapitre : 3
Chapitre I : « Méchanceté gratuite. »
Une jeune fille appuyée contre son casier, ses livres serrés contre son cur, les yeux fermés et les joues rouges attendait patiemment. Depuis quelques temps elle avait tout étudié chez lui. Sa démarche, ses réactions, ses habitudes, ses horaires. Elle savait quil ne tarderait pas à arriver et dailleurs il arriva. Le garçon en question, marchait, les mains dans les poches et son sac négligemment posé sur son dos, vers elle. « Tu voulais me parler Tomoko ? » La jeune fille ouvrit les yeux et leva la tête vers lui. Ses joues étaient de plus en plus rouges mais son visage laissait paraître une expression déterminée. « Oui Daisuke. Je voulais te dire quon ma dit que tu
enfin que tu
et bref ! Moi aussi et ... » Le jeune homme, complètement perdu, posa un doigt sur les lèvres de la jeune fille pour la faire taire et la questionna : « De quoi parles-tu ? » « De tes sentiments. Tu vois, moi aussi je taime et jaccepte de sortir avec toi ! » Le garçon se mit alors à rire. La jeune fille, ne comprenant rien à ce quil se passait, neut dautres réactions que de garder le silence et dattendre quil se calme. Elle sentait pourtant bien une drôle de sensation lui resserrer lestomac. « Je ne suis absolument pas amoureux de toi, dailleurs comment pourrais-je lêtre ? » « Co
comment ? » déglutina t-elle avec peine. « Je ne sais pas où tu as été imaginer un truc pareille mais oublie cette histoire ! » « Je pensais quon étais amis
» « Amis ? Je tai simplement aidé car tu étais la sur de mon meilleur ami, ne te détompres pas, tu ne mas jamais intéressé ! » La dénommé Tomoko sentit les sanglots monter dans sa gorge mais les retint autant que possible. Elle avait remarqué dans le coin derrière les cassiers des premières, la présence du groupe des « chipies » comme tous dans ce lycée les appelaient. Elle ne pouvait pas se montrer faible, elle savait se quelle aurait à subir si jamais elle osait montrer ses faiblesses. Elle tenta de se reprendre calmement. « Mais ... on m'a dit que ... » « Oh tu parles de cette rumeur ! C'est n'importe quoi ... Il n'y a qu'une fille aussi naïve que toi qui ai pu y croire. » « Cest impossible ! Nous étions si proches ! Tu me mens, je le sais ! Mais pourquoi ? Que tont telles fait ? » « Mais de qui tu parles ? » lui dit-il avant de la pousser de lindex et de sen aller de la même manière quil était arrivé, les mains dans les poches. Alors que la jeune lycéenne sapprêtait à sen aller de son côté, une jeune fille aux cheveux courts roux, deux longues mèches encadrant son visage et aux grands yeux vert émeraude sortit de sa cachette suivit de ses amies. Tomoko les ayant aperçue, pressa le pas, espérant éviter la confrontation mais ce fut en vain, la leader du groupe linterpella. « Tomoko ! Où vas-tu ainsi ? » « Je
je
» bégayât-elle. « Tu nes pas contente de nous voir ? » enchaîna la seconde. « Nous avons le moyen darranger ce mal entendu si tu veux. » renchérit la première. « Pourquoi ferriez vous ça pour moi ? Je vous connais vous toutes ! » hurla Tomoko avant de senfuir vers sa classe. « Tout marche comme prévu ! » sexclama la rousse. « Que faisons nous maintenant ? » interrogea la plus petite du groupe. « On attend Chie
On attend. » « Attendre quoi ? » questionna le dénommé Chie. « Une bonne occasion de la torturer plus peut-être ? » sexclama la sous directrice du groupe. « Exactement Akero. Ce nest pas suffisant. Nous allons la briser ! » « Comment ? » demanda cette fois-ci la dernière. « Je ne sais pas encore
Tu as une idée peut-être Nana ? » « Aucune ! » répondit-elle spontanément. Cest à ce moment que la sonnerie choisie pour retentir. Les cinq lycéennes se regardèrent droit dans les yeux, sans dire un mot pendant quelques secondes jusquà ce que ce silence fut rompu par un membre du fameux clan, décidément profondément déçue. « Elle est sauvée par le gong la petite Tomoko ! » s'exclama Chie « Pas si sur ... j'ai une petite idée. » ricana Yumi. Uniquement quatre des filles prirent la direction de la classe de Tomoko tandis quAkero partis dans la direction opposée. En effet, Akero, la meilleure amie de Yumi mais aussi la co-fondatrice du clan n'était plus dans leur classe. Ceci cest produit il y a de ça quelques semaines. Les cinq étaient réunis, mais vint la remise du carnet de note ainsi que la réunion des parents qui comme à chaque fois sen suit. Daprès le conseil de classe, Akero avait un caractère trempé et manquait de respect à ses professeurs et camarades de classe. Quelle injustice avait-elle pensée. Comment pouvait-on la faire changer de la classe, elle seule alors que chacune y étaient pour quelque chose ? Toutes savaient qui en était responsable. Cétait une jeune chinoise ; Ting Ting, transférée au début dannée. Ses six jeunes filles ne pouvaient pas se voir, cétait sans cesse le conflit. Personne ne gagnait. Et pourtant cinq contre une, lavantage se devait de revenir à Yumi et sa bande et pourtant
« On se voit au cours de natation Kero Chan ! » cria du fond du couloir Yumi avant de disparaître, suivit par ses trois amies dans sa classe. La classe était silencieuse, seule Tomoko ainsi que Yura attendaient déjà en classe patiemment que les élèves dans la cours monte. Sans un mot, les quatre pestes se regardèrent fermement avant de chacune prendre sa place dans le plus parfait des silences. « Tout ne fait que commencer ! » pensa Yumi rieuse.
* * *
Tomoko écoutait attentivement le cours de physique. Ou du moins du mieux quelle le pouvait. Elle entendait sans cesse des sifflements dans son dos. Elle savait qui était la destinataire de ses avances mais refusait dy céder. Ou du moins, de nier et dy résister ainsi le plus longtemps possible. Penché sur son banc, cette dernière réfléchit à une solution. Elle savait que Yumi et sa bande avait tout entendu de sa discussion avec Daisuke. Que malgré les mensonges, cette histoire circulerait. Mais que faire finalement ? Rien, rien
absolument rien. Quétait-elle en face de ses ennemies ? Rien ou du moins pas grande chose. Sans sen rendre compte, la jeune lycéenne bidouillais des petits dessins sur sa feuille. Elle ne parvenait finalement pas à se concentré, ni même contenir sa tristesse. Elle ne connaissait pas les réelles circonstances de cette rumeur quelle avait osée croire sans se poser la moindre question. Cela fessait deux ans quelle lobservait, refoulant ses sentiments, espérant seule dans son coin. Il est vrai quelle aurait dû se méfier, sentir la menace venir. Mais au lieu de cela, elle avait préféré y croire et en avoir le cur net. Elle fermis les yeux, relâcha son crayon et tenta de faire le vide dans son esprit. Quelques secondes sécoulèrent avant quelle ne regarde à nouveau sa feuille et quelle ne fut pas sa surprise que dy lire « Un de perdu, dix de retrouvés ! » Incroyable pensa t-elle, sans sen rendre compte, elle avait écris ses quelques mots qui lui redonnèrent lespace de quelques secondes le sourire. En effet, un petit mot finit par atterrir sur le bord de son bureau. Intéressée, la petite brunette se tourna afin de voir son destinataire et qui vit-elle ? Yumi, souriant de toutes ses dents. Il était trop tard pour reculer, elle allait le lire et puis tant pis. « Après les cours, rendez-vous au gymnase. Oses te défiler et tu verras ! Yumi. »
* * *
« Je te réserve une belle surprise ! » pensa Yumi avant de ricaner. |
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Alexiel Cherche mari riche
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Humeur: Playlist ♫: la télé
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Posté le: Ven 26 Jan - 18:27 (2007) Sujet du message: Setsujoku |
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Pas mal, méchant mais pas mal. Mais euuuh, ça m'a rappelé un bien mauvais souvenir, parce que j'ai déjà été dans le cas de Tomoko moi ! :lol: Bon j'étais en dernière année de primaire, mais quand même... :T_T: |
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rin
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Posté le: Ven 26 Jan - 18:35 (2007) Sujet du message: Setsujoku |
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Moi aussi en sixième (enfin pas à ce point), mais je peux te dire qu'elles ont payé muha ha ha, j'en jouis encore *.*
La suite Mayu c'est pour quand?????? |
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Min Sia Shota Complex
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Inscrit le: 19 Jan 2007 Messages: 796
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Posté le: Ven 26 Jan - 18:38 (2007) Sujet du message: Setsujoku |
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Pareil, j'ai vécue presque la même chose en cinquième primaire *-) Enfin, méchant, c'est juste une mise en scène pour centrer l'histoire sur le caractère de l'héroïne. Il est banal mais il me permettra d'élargir a fond l'histoire. Je vais profiter pour poster le deuxième chapitre mais par contre, je me reproche de ne pas savoir écrire de long chapitre, c'est dingue ça >___<. Mais bon, c'était il y a un an, maintenant j'écris plus ou du moins je me force avec pelun de synonymes qui servent à rien si ce n'est faire une phrase a rallonge XD.
Chapitre II : « Un pressentiment. »
La journée se terminait déjà et lheure de rendez-vous avez Tomoko approchait. Durant la pause de midi, Yumi avait tue son idée. Être seule était préférable pour ce genre de plan. Comment convaincre la malheureuse si elles étaient à cinq ? Cela lui semblait impossible et elle savait que malgré son intelligence limité, la dite Tomoko se méfierai. Après tout nétais-ce pas se que sa bande et elle-même avait choisis ? Le respect et la crainte des autres ? Pendant le midi, les cinq filles sétaient réunies comme à leur habitude au milieu de la cours, sur les bancs de pierre mis en arc de cercle tel un amphithéâtre. Du centre de la cours, il leurs étaient bien plus facile dobserver la moindre chose suspecte et de récolter ainsi des informations croustillantes. Bien sûr, Tatsuki avait son mot à dire dans cette histoire. Bien que nétant pas directement liée aux filles, elle était leur informatrice préférée et elles comptaient toutes sur elle. Cétait dailleurs en partie de la faute de Tatsuki si chacune des rumeurs, fondées ou non, prenait forme et cétait à Yumi et ses amies de létendre et de laisser le reste se déroulé selon leurs plans « divins » Tout se que fessait Yumi était finalement devenu une habitude. Tout était planifié à lavance. Bien que ces victimes étaient aléatoires, rien dextraordinaire sortant de lordinaire ne se passait. Même avec son petit copain ; Morita Nara, garçon populaire du lycée voisin, plus rien de palpitant ne se passait. Et pourtant, cette dernière ne ressentait pas la moindre lassitude. Briser les gens quelle sous estimais, qui pour elle nétait là que pour décorer était devenu comme un rituel. Après tout, la vie de la rousse navait quété planifiée. Il y avait une heure pour tout et ses parents peut import lobjet et lendroit, narrivait jamais en retard. Il en avait été ainsi depuis bien longtemps. Et cela même avant sa naissance. Une vie sans aucuns rebondissements, ou même lheure du bain était déterminée. La sonnerie annonçant la fin de lavant dernier cours venait de retentir. Plus que cinquante minutes et Yumi rejoindrais la malheureuse Tomoko au gymnase. Elle ne savait pas encore trop bien se quelle pourrait lui dire, ni comment la convaincre de croire à ses « bétisses » mais elle savait déjà de quoi cela parlerait. De lamour
Daisuke. Il lui faudrait dailleurs son soutien pour réaliser son plan. « Reste encore à le convaincre » pensa t-elle amèrement. Cela ne devrait pas être si difficile enfin elle ne pensait pas et peut importe le moyen, elle le trouverait. De plus, elle savait quelle pourrait compter sur sa meilleure amie ; Akero, pour cela. En effet, récemment Tatsuki leurs avait rapportée que Daisuke Kishu, le taciturne playboy avait le béguins pour la vice présidente du groupe. Se qui, maintenant, mettait toutes les cartes de son côté. Enfin pas tant que ça puisque cest depuis cette nouvelle « dégoûtante » que Yumi, Akero et les autres décidèrent de torturer la pauvre Tomoko. « Yumi, tu viens ? » linterpella son amie ; Nana. La rousse se leva discrètement et pris ses affaires avant de sortir de la classe suivit des autres élèves en direction des escaliers menant sur le toit ou se déroulerait le dernier cours de la journée ; Natation. Mais avant, direction les vestiaires des filles. Le professeur menant la marche poussa la porte et y laissa entrer ses élèves. Certainement par galanterie. Puis la referma derrière elles et monta les attendrent sur le bord de la piscine. A lintérieur du vestiaire, toutes se changeaient, non sans silence. « Tu as entendu Akero, parait quon va avoir un nouveau professeur danglais ! Jai entendu dire quil avait 21 ans et quil était très séduisant. » sexclama Tatsuki, décidément au courant de tout. « Sérieux ? Génial ! Je raffole des hommes plus âgés ! » « Je savais que cette nouvelle te plairait. » « Et comment ! » sexclama la jeune fille. « Il a déjà enseigné ailleurs avant ? » linterrogea Yukari intéressée elle aussi. « Il est fiancé ? » renchérit Chie. « Mieux que ça ! Il est marié ? » répliqua de suite Akero. « Je ne sais pas ça. » « Dommage
» fit Akero se mordant précipitamment la lèvres avec envie. De son côté, Yumi se changea dans le plus parfait des silences. Elle ne pouvait sempêcher de fixer sans cesse Tomoko. Elle se régalait déjà davance de son triomphe futur. Et espérait malgré elle que cette dernière viendrait bien au rendez-vous. A vrai dire, elle navait pas didée de vengeance si elle ne venait pas. Enfin pas encore. « Yumi, ques ce qui se passe ? Tu ne dis rien ? » sonda sa meilleure amie Akero. « Hein, quoi ? » « Ca ne tintéresse pas ? » sinquiéta Nana. « Si, si
Je me sens pas bien, cest tout. » répondit leur directrice. « Tu as tes régles ? » demanda cette fois-ci Tatsuki. « Non, impossible. Je les ais eut y a 2 semaines. Ca ne serait pas normal ! » « Je suis tout à fait daccord avec toi ! » répliqua à son tour Chie. « Jai plutôt comme un pressentiment que quelque chose de fâcheux va se produire dans les prochaines vingt-quatre heures. » expliqua la rousse avec un regard des plus inquiet et perplexe. « Tu ten fais bien trop ! » fit Akero avant déclater de rire et de tapoter lépaule de son amie. « Ouais, tu as raison, cest pas du tout mon genre ! »
* * *
Assise dans un coin, sous sa serviette, Yumi observait pensive le cours de natation qui se produisait devant ses yeux. Sa comédie et son charme parvenaient dans toutes situations a obtenir se quelle désirait. Et dans ce cas si, être dispensée du cours de natation était un plaisir. Pas quelle naimait pas la natation, au contraire, elle trouvait sa plaisant de nager librement dans leau, tiède de préférence. Mais avec ce mal de ventre, faire le moindre mouvement la laissait molle. Cétait encore une opportunité pour elle de réfléchir à ce fameux rendez-vous avec la chère Tomoko. Bien quy penser constamment, elle ne parvenait pas à trouver les mots quelles utiliseraient, ni les prétextes. « Saloperie de douleur ! » pensa t-elle. En vérité, sa douleur ne lui permettait pas dy réfléchir. Comme-ci ses souffrances la forçaient à ne penser quà elles. Malgré cela, elle restait convaincue que son imagination lui jouait des tours. Que pouvait-il bien arrivé dans vingt-quatre heures ? Rien ne précisait quelle était la cible. Peut-être êtes-ce Tomoko ? « Aurais-je des pouvoirs ? » pensa cette fois-ci la rousse avec un faible sourire réjoui. Les réflexions silencieuses de Yumi vinrent vite à être perturbées par lentrée fracassante de monsieur Nanakomi, le professeur de sport des garçons. A première vue, il semblait à bout de souffle et totalement perdu. Il sapprocha du professeur et ils parlèrent le plus silencieusement possible. Néanmoins le sujet néchappa pour au tant Tatsuki qui tendit loreille le plus que possible, toujours se sourire sur ses lèvres. Quant à Akero, Yukari, Nana et Chie, elles en profitèrent pour rejoindre leur amie ainsi que leurs serviettes de bain silencieusement, dévorant la situation, jugée amusante, des yeux. « Quoi ? Comment es-ce possible ? Vous êtes sûr ? » sexclama le professeur des filles. « Mais puisque je vous le dis ! » rétorqua Nanakomi. « Mais cest impossible ! » « Je sais ! Cest justement pour ça que je suis venu vérifier si ils nétaient pas ici. » « Nous devons découvrir se qui cest passé ! Les filles, rhabillez vous, le cours est terminé ! » sexclama professeur Mitayume avant de disparaître dans les escaliers suivit de son collègue dans la panique la plus total. « Ca nous donne 40 minutes de licenciement. » ricana Yukari. Quant à Yumi, elle se tourna vers la porte, la fixant silencieusement. « Etes-ce mon pressentiment ? » sonda t-elle. « Déconnes pas, y a pas mort dhommes ! » répliqua Akero. « Justement si ! » sen mêla Tatsuki. « Quoi ? » « On a retrouver dans le réfectoire le cadavre dune fille. Je nai pas entendu son prénom. Et il parait aussi que toutes une classe de quatrième aient disparus. Par contre, nous ignorons si cest lier ou non. » « Impossible ! » |
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rin
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Posté le: Ven 26 Jan - 18:44 (2007) Sujet du message: Setsujoku |
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Et bin Oo bha tu sais c'est pas un mal de pas faire des chapitres trop longs, après c'est chiant à lire. J'aime, ce sera Yumi l'héroïne (comme tu commences avec Tomoko je me demandais) Par contee, les fautes d'orthographe.... >o< |
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Min Sia Shota Complex
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Posté le: Ven 26 Jan - 18:49 (2007) Sujet du message: Setsujoku |
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Oui les fautes, je le fais vraiment pas exprès XD Je me relis, encore et encore, je corrige les grosses mais bon, il en reste, je sais pas y remédier :x Allez, hop, je poste le dernier que j'ai écris et ce mercredi prochain si je peux, je commence enfin réécrit le chapitre quatre (acr je ne le retrouve plus). Mais j'aimerai finir le chapitre un de ma dernière fic avant, j'ai arrêter un jour pour manger et je l'ai oubliée XD. Tain si vous saviez le nombres de fic ou j'ai dans les deux ou trois chapitres. Je suis pas sérieuse, franchement >__<.
Chapitre III : « La perte dun être cher. »
« Regardez ça, cest dégoûtant ! » sécria Nana écoeuré par le spectacle. « Cest vrai que cest pas très beau à voir
» renchérit calmement Chie. « Allons nous-en, jai peur ! » cria Nana qui ne pouvait sempêcher de cacher ses yeux. « Je me demande qui a bien pu tuer cette fille. Elle a toujours été discrète. » sonda cette fois-ci Yukari. « Qui sais
Puis de toute façon, on senfiche. Fillons dici avant que lon ne soient soupçonnées. » déclara à son tour Akero, tout en prenant déjà le chemin vers la sortie. Yumi fut la première dehors. Son mutisme navait réussit à dissimuler réellement son dégoût et son angoisse. Non pas que la mort de cette fille la terrifiait, au contraire, elle ne savait rien delle et nen avait rien à faire. Mais quelque part, rôdait son mystérieux assassin. Ce quelle ne saisissait pas, cétait pourquoi leur professeur les avaient laissé se rhabiller sans les surveiller. Ce crime navait pas t-il dimportance ? Êtes-ce comme les lois des jeux ? Chacun pour sois ? Cétait insensé. Pourquoi faire une telle chose ? De plus, la disparition soudaine des garçons
« Doù sortez vous ! Je vous avais pourtant dis de rentrer chez vous ! » vociféra le professeur Mitayume. « Ne me dîtes pas que vous êtes aller la voir
» finit-il en pleure. « Monsieur
» séxclama Nana troublée. « Oubliez cette affreuse image ! Partez, je vous en prie ! » renchérit-il en larmes. « Ques ce qui vous met dans cette état senseï ? » intérrogea cette fois-ci Yumi, sortit de son silence. « Veillez rester en dehors de cette affaires ! » fit une voix venant du fond de la pièce. Un jeune homme, aux cheveux bruns suivit dune jeune femme aux longs cheveux blonds-chatains, sapprochèrent de nos cinq amies. Ils étaient tous deux vêtus dun costume bleu marine. Ils portaient les même chaussures, les même gants
Et possédaient se regard si insouciant. « Nous sommes de la police, nayez craintes. » fit la jeune femme dune voix douce et réconfortante. « Bien, partons alors les filles ! » sexclama Akero. « Une petite minute. Nous devons vous intérroger ! » sexclama la policière. « Quoi ? Mais on ne sait rien du tout. » Les deux collègues de travails se regardèrent silencieusement puis le jeune homme hôcha de la tête et se tourna vers le professeur sans pour au tant dire le moindre mot. La blonde sapprocha des filles et les invita à sortir. « Nous prendrons votre déposition demain dans laprès-midi. » Akero haussa les épaules puis partie très rapidement suivit par sa bande et Yumi. La jeune femme leva les yeux vers le professeur Mitayume et se raprocha de lui. « Vous permettez que l'on vous pose quelques questions ? » « Bien ... bien sûr. » balbutia t-il Ce fut au tour du policier de prendre la parole, sa coéquipière étant prête à prendre le témoignage en note. « Connaissiez vous la victime ? » Un grand silence s'en suivit. On entendait plus que la respiration saccadée du professeur et les tapotements du stylo de la policière sur son calepin. « Oui ... c'était
cétait ma fille ! » s'étrangla t-il. La policière prit aussitôt sa réponse en note alors que le jeune homme se raclait la gorge et poursuivait ses questions. « Comment sapellait-elle ? » questionna la policière. « Junko Mitayume. » parvint-il à dire fixant péniblement le jeune homme qui reprit la parole. « Vous et votre femme êtes en bon thermes ? » Un silence s'installa à nouveau. Les larmes du professeur avaient cessées subitement. Mais cela ne laida pas pour au tant à se calmer. Il demeurait instable. Il se demandait quand la crise cardiaque le prendrait. Lagent de police toussota un moment tout en fixant avec insistance le père désorienté. « Nous sommes divorcés depuis 9 mois. Je ne voyais ma fille qu'une semaine sur deux. » finit-il avant déclater à nouveau en sanglot. « Très bien. » marmonna la jeune femme en notant, semblant trouver un intérêt immense à ses écrits. « Et
» poursuivit le policier « Votre fille ou votre femme avaient-elles des ennemies? » « Pas que je sache » répondit Mitayume sans la moindre hésitation. « Bien, merci » fit le jeune policier avant de savancer vers les grand porte menant au réfectoire. « Marie, avez-vous un mouchoir pour cet homme ? » « Oui, inspecteur. » répondit-elle avant de fouiller brutalement dans son sac à main. Puis tendis une petite boite au professeur. « Tenez, prenez là. » lui dit-elle avec un sourire réconfortant alors quelle se lançait déjà à la poursuite du beau jeune homme. Ils pénétrèrent ensuite dans ce que les policiers nommaient « les lieux du crime » et le visage de monsieur Mitayume pâlit à vue d'oeil. Sur une table juste devant eux, la main de sa fille, sauvagement coupée, dégoulinait de sang. Sur le sol près de là, des grandes touffes de cheveux noirs étaient éparpillés dont certains étaient encore emmêlés autour d'une jolie pince bleue pastel. Cachée derrière une table renversée, gisait la jeune fille. Une bien jolie marque de strangulation était visible sur son cou découvert. Quelques cheveux étaient restés accrochés à son chemisier déchiré. Le policier saccroupit afin de mieux lexaminer. « Etranglée avec ses propres cheveux
» murmura t-il alors que sa coéquipières continuait tranquillement ses notes. « Ce nest pas tout ! » sexclama t-il ensuite tout en se relevant. Marie le suivit du regard quand à son tour elle le remarqua. « Il serait fort possible quelle ait été projetée contre cette table avant dêtre étranglée ? » questionna la jeune femme. « Possible. Bien que cette hypothèse métonnerait grandement. » répondit-il passivement. « Excusez moi
Dois-je encore assister à cette scène longtemps ? » « Bien sûr que non Monsieur Mitayume. Vous pouvez vous en allez. Mais si vous possédez dautres éléments, tenez en nous informez je vous pris. » fit la jeune femme. Et sur ces mots, il partit en courant. La porte claquait avec le vent, les branches des arbres frottaient contre les fenêtres du premier étage. La blonde frissonna un instant puis braqua à nouveau toute son intension sur le lieu ou sétait déroulé le meurtre. « Il semblerait que la victime ait été dabord étranglé puis pousser contre cette table. Dailleurs, je mettrais ma main à couper que la table était déjà retourner. » élucida linspecteur tout en fouillant la pièce du regard cherchant le moindre indice susceptible de le mettre sur une piste. « Serais-ce une dispute ? » sonda la jeune femme. « Très certainement. Les coups laissés sur le corps de la victime nous permettent au moins de certifier cette chose. Regardez ça ! » « Un ongle de son agresseur ? » « Peut-être
Pour le vérifier il faudrait lenvoyer au labo. » « Daprès cette marque dans sa nuque, elle aurait été empoignée. » « Exactement, cest se que jen conclue. La victime a été dans un premier temps empoignée. Ensuite, si nous suivons nos indices, laggreusseur lui a couper les cheveux avec un couteau ou des ciseaux afin de
» « Mais cette preuve nous manque ! » coupa Marie. « Létrangler
Marie prélever moi longle et des cheveux ! » continua t-il calmement. « Bien inspecteur ! Et que fessons nous du corps. » « Ils viendront le chercher. »
* * *
« Bien à demain Yumi. Cest dommage
Et Tomoko ? » fit Akero. « Laissons là pour le moment, jai pas trop la tête à ça. » répliqua agressivement Yumi. « Bien, on verra demain. Reposes toi bien, tu nas pas lair dans ton assiette. » lui répondit sa meilleure amie tout en séloignant. La rousse la regarda dans un premier temps séloigner puis séloigna de la barrière la séparant de sa maison et couru en direction de son lycée. Qui sais, peut-être que Tomoko aurait, malgré ce qui sest passé cette après-midi, pointé le bout de son nez au lieu du rendez-vous. Elle sortit son portable de sa poche et regarda lheure. Dans quatre minutes, elle serait en retard à son propre rendez-vous mais Akero avait absolument tenue à la raccompagnée. « Ce nest pas prudent pour une lady de rentrer seule » avait-elle dit. Elle ne tarda pas à arriver au lieu de rendez-vous. Elle sappuya contre le muret de lentrée du lycée afin de reprendre son souffle tout en portant son regard sur lheure quaffichait son portable. 16 heures 13. Elle avait trois minutes de retard. Enfin peut importe, ce nétait pas pour trois minutes. La jeune lycéenne se redressa et pris la direction des grandes grilles la séparant de son but. Mais quelle ne fut pas sa surprise que de constater que ces dernières étaient fermées à clefs. « Ils ont dû boucler le secteur. » pensa t-elle tout en escaladant les grillages de fer froids. |
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